Nos F:. Bernard R:. et Richard B:. ont identifié, bravo, la sphère armillaire (voir article précédent).

Ce très bel objet est un instrument scientifique dont la conception remonte à quelques siècles avant J.-C.

La sphère armillaire est un emblème national pour le Portugal, mais que vient-elle faire chez les Francs-maçons ? Un grand ancien, T:. I:. F:. de son état, m'a affirmé, avec force mais sans autres explications, que la sphère armillaire a une place importante dans la Loge.

La littérature maçonnique est relativement discrète sur ce sujet.

— La sphère armillaire a t-elle vraiment sa place dans une Loge ?

Si oui,

— dans quel(s) rite(s) ?

— pourquoi (au plan symbolique) ?

— où est elle placée ?

Voila quelques questions à étudier sereinement, sur la plage (1), sous un parasol, une boisson fraîche (le verre doit être couvert de buée), à portée de la main.

Merci d'avance de votre participation.

Réponse via la rubrique commentaire ou par mail  à l'adresse indiquée en infra.

Bonnes vacances.

(1) ou à la montagne, à la campagne, etc.

Pour répondre au dernier courrier reçu, voici ce que C. G. Jung écrivait à propos du symbole :

« Ce que nous appelons symbole est un terme, un nom ou une image qui, même lorsqu'ils nous sont familiers dans la vie quotidienne, possèdent néanmoins des implications, qui s'ajoutent à leur signification conventionnelle et évidente. Le symbole implique quelque chose de vague, d'inconnu, ou de caché pour nous.»

«... un mot ou une image sont symboliques lorsqu'ils impliquent quelque chose de plus que leur sens évident et immédiat. Ce mot ou cette image, ont un aspect "inconscient" plus vaste, qui n'est jamais défini avec précision, ni pleinement expliqué. Personne d'ailleurs ne peut espérer le faire.

Lorsque l'esprit entreprend l'exploration d'un symbole, il est amené à des idées qui se situent au delà de ce que notre raison peut saisir. »

Carl Gustav Jung 1875-1961

Enigme

A ce jour, une seule bonne réponse (Richard B:.)

Dernier indice avant la solution :

"Un de mes discours est un modèle du genre, une référence pour l'orateur d'une Loge"

Les tailleurs de pierre, bâtisseurs de cathédrales, ont laissé la place à d'autres constructeurs d'édifices où l'acier a remplacé la pierre.

Jean Sylvaire, scientifique et poète, a glorifié le labeur humain dans un recueil de trente-deux sonnets intitulé "Les Chants du Travail", où il entonne, selon l'expression d'Armand Got, un hymne de ferveur à la peine des hommes, à l'effort opiniâtre, aux métiers éternels.

Voici l'un de ces sonnets : Le constructeur de ponts.

Les chants du Travail ont été édités en 1948, par Pierre Fanlac, près de la Tour de Vésone à Périgueux.

L'enluminure est de la main même de l'Auteur.

Le texte, sans enluminure, sera publié dans un prochain article.

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