
l'intégrale de l'allocution prononcée par notre V:. M:.
lors de son installation en septembre dernier,
en cliquant sur :
Parole inaugurale du V:. M:. en chaire
Chaque trait de mon pinceau est l'aboutissement de l'énergie la plus profonde de mon cœur
Le Blog du Rite Français
Notre T:.V:.F:. R:.F:. nous a transmis l'allocution de J:.-P:. L:.Premier V:.M:. de notre R:.L:., lorsque celle-ci a été consacrée le 23 avril 5988, en nous suggérant de la mettre sur le site à la disposition de tous.
C'est avec plaisir que nous mettons en ligne ce texte qui vous révèlera les fondements de la quête des Frères de notre loge et l'origine de son nom Trusatiles.
Pour lire cette allocution, il vous suffit d'aller dans la colonne à droite, rubrique Textes et de cliquer sur De l'origine de Trusatiles
Vous pouvez y accéder directement en cliquant sur Trusatiles
Vous trouverez dans la rubrique Notes de lecture (colonne de droite) la première note intitulée :
La Symbolique maçonnique de Jules Boucher.
Vous y accéder directement en cliquant sur La Symbolique maçonnique de J. B.
Même si vous n'êtes pas encore géomètre, mais cela ne saurait tarder, bienvenue sur le site de notre Loge Trusatilès.
C'est le site d'une loge vivante qui travaille au Rite français.
Vous y trouverez :
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* La tradition veut que cette phrase ait été gravée à l'entrée de l'Académie, l'école fondée à Athènes par Platon. Mais que vaut cette tradition ?
Notons tout d'abord que cette tradition ne nous est connue que par des sources très tardives, postérieures d'au moins 10 siècles à Platon: elle est mentionnée par Jean Philopon, philosophe néoplatonicien chrétien qui vécut à Alexandrie au VIème siècle de notre ère et dont survivent plusieurs commentaires d'oeuvres d'Aristote, dans son commentaire du De Anima d'Aristote(et dont on est presque certain aujourd'hui qu'il n'est pas de Philopon); par Elias, un autre philosophe néoplatonicien alexandrin du VIème siècle de notre ère, postérieur à Jean Philopon et, comme lui, chrétien, dans son commentaire des Catégories d'Aristote; et aussi par Jean Tzetzès, auteur byzantin du début du XIIème siècle de notre ère, dans ses Chiliades (VIII, 973), où on la trouve sous la forme complète.
Les deux premières références proviennent de commentaires d'oeuvres d'Aristote, et de fait, on trouve le terme ageômetrètos chez lui, par exemple dans les Seconds analytiques, I, XII, 77b8-34, où le mot figure 5 fois en quelques lignes, mais il ne fait jamais référence, dans ses oeuvres conservées du moins, à cette inscription au fronton de l'Académie, où il étudia, enseigna et vécut près de 20 ans.
Voir ci-contre,
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