Chaque trait de mon pinceau est l'aboutissement de l'énergie la plus profonde de mon cœur
Le Blog du Rite Français
Merci à Philippe H. qui nous a envoyé cette citation de l'écrivain sénégalais, Irénée Guilane Dioh, chercheur en linguistique et en stylistique du français moderne.
En attendant une note de lecture envoyée par Al Ecker à paraitre demain ou dimanche
Ce n'est pas un ouvrage de TXT, mais il aurait pu l'écrire.
« Et cependant, disait le comte, il faut en prendre son parti, comme un voyageur qui est obligé de passer une montagne : sans doute, si la montagne n’était pas là, le chemin serait bien plus facile et plus court ; mais elle y est, et il faut passer. »
Goethe, Werther, 1845
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